L’édition 2023 du festival de Saint Céré se déroulera du 31 juillet au 12 août



C’est à la toute fin du mois d’avril que les responsables du festival de Saint Céré ont annoncé le programme de sa prochaine édition. Cette année il se déroulera du 31 juillet au 12 août, succédant, comme d’habitude au festival de théâtre de Figeac qui se déroulera, lui, du 24 au 30 juillet (https://festivaltheatre-figeac.com/). Comme d’habitude le programme est varié et chacun devrait y trouver son compte.


Au programme :


Opéra


31 juillet (22 heures), place du mercadial : retransmission de l’opéra de Jean Philippe Rameau (1683-1764) Les Indes Galantes (production de l’Opéra National de Paris).


2 et 4 août (21 heures), théâtre de l’usine – en création mondiale : Le coq Maurice de Pascal Zavaro (né en 1959).


9, 10 et 12 août (22 heures), château de Castelnau Bretenoux : La tragédie de Carmen Georges Bizet (1838-1875) / Peter Brook (1925-2022)


11 août (21 heures 30), château de Montal : Rigoletto ou le roi s’amuse d’après Victor Hugo (1802-1885) et Giuseppe Verdi (1813-1901)


Théâtre musical / spectacle musical


1er août (21 heures 30), jardins de l’abbé Pierre Fayret, Souillac : Les noces de Samira Sédira (née en 1964)


6 août (21 heures 30), théâtre de l’usine : Artefacts conçu par Frédéric Bétous (né en 1971) et interprété par le poème harmonique.


Le festival de Saint Céré est dédié à l’opéra depuis ses débuts en 1980, mais des concerts de musique de chambre et de musique orchestrale sont également prévus pendant toute la durée du festival ; ce qui permet à chacun de trouver son compte.


Pour la totalité de la programmation, les tarifs, les différents sites c’est ici : https://festival-saint-cere.com/spectacles/


Crédit photo : Guy Deltheil



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Cinq questions à … Lorenzo Cipriani, directeur artistique des Estivales du Freney d’Oisans

Bastien et Bastienne de Mozart présenté aux Estivales du Freney d’Oisans

Musique baroque, musique brésilienne et fado au programme de Joao Paulo Ferreira et Joao Santos